Crédit photos Jo Simoes
C’est en février 2018 que Margaux Matthey-Brotto a été élue Miss Suisse Romande 2018. Discrète et charmante, Margaux nous révèle son histoire de conte de fées finalement un peu par hasard et presque par jeu. Notre mademoiselle est née le 5 septembre 1997, la fée de l’horlogerie s’est alors penchée sur son berceau, mais l’on y reviendra plus tard.
Elle a fréquenté l’école Bertrand, le cycle d’orientation de La Florence, a passé une année à l’école Jean Piaget pour ensuite prendre la décision de faire un apprentissage. Elle fera un stage de cuisine, un stage d’architecture comme maquettiste, mais c’est avec le stage dans l’horlogerie pour la Maison Ludovic Ballouard à Genève que sa vocation va naître.
La fée de l’horlogerie
Nous l’avions soupçonnée de s’être penchée sur le berceau de la jeune Margaux pour l’avoir dotée d’une rare beauté, mais aussi d’un immanquable tic-tac qui bercera sa vie. Cela commence avec une maman née au Locle dans le canton de Neuchâtel et un père féru d’horlogerie. Grâce à l’expérience acquise lors de son stage en horlogerie et des compétences incontestables, elle va être sélectionnée pour intégrer les ateliers si convoités de la maison Patek Philippe pour y faire son apprentissage. En 2017 et après trois années elle obtient son CFC et rejoint l’élite de la maison Patek Philippe au séquentiel 324.
Sélection Miss Suisse Romande
Margaux nous raconte la réalité d’une sélection à Miss Suisse Romande. Cent filles sur la ligne de départ, toutes plus jolies les unes que les autres, mais pas forcément avec la même ambition. Qu’est-ce qui a fait la différence ? Peut-être le côté naturel et frais de Margaux, peut-être aussi sa gentillesse et sans doute le fait qu’elle n’a pas pris cette élection trop au sérieux. Douze jeunes filles finalistes pour six mois de représentation avant l’élection finale. Les évènements sont souvent agréables comme le Bal du Printemps, un défilé au golf de Sion ou encore le Salon de l’Auto. Être Miss c’est aussi avoir l’honneur d’utiliser son image ou sa notoriété pour mettre en lumière de belles actions comme celle de l’association caritative Race For Gift. Margaux avait choisi Enfants du Mékong.
Qu’il y a-t-il après la couronne ?
Pour Margaux, pas de stress pour se reconvertir, elle a déjà un joli métier et ne compte pas en changer. Toutefois, elle se dit passionnée par l’univers de la mode et aimerait beaucoup de temps à autre participer à des séances photo, faire des publicités ou défiler pour des créateurs. Alors avis aux amateurs, la belle Margaux amènera votre marque aussi haut que celle de l’image de la Suisse Romande à savoir avec du cœur, de la dignité et de la simplicité. Ne changez rien chère Margaux et on vous souhaite beaucoup de succès !